Pajenn:Congres celtique international.djvu/543

Ar bajenn-mañ n’he deus ket ezhomm da vezañ adlennet.

CYMRU A ARVOR. 134

qui nous environne , que serions-nous , sinon des Chré- tiens réunis dans le sein du culte chrétien , que des Bre- tons sur le sol breton ? C'est sur les bords de votre Gouët que Brieuc s'est fixé — c'est là qu'il éleva une humble chapelle près de la source bénie d'Orel. Où gît notre Paul de Léon, Tantique cité lève ses regards vers le Ciel, comme un lac calme près du torrent turbulent de la vie. Il est nôtre, le Samson à l'âme guerrière qui a rendu Dol célèbre ; il est nôtre , le doux Malo , dont l'âme fut trempée dans l'amour. De même , par un échange de bienfaits, vos fils, de sainte mémoire, sont venus, sous la conduite de .Cadvan, saluer nos montagnes de Cymru; plus d'une flèche consacrée, plus d'une source d'eau vive, plus d'une plage solitaire conservent à jamais le souvenir de leur vie et de leur mort.

Nor less before our vision

The elves of Fancy dance , And softly falls around us

The roselight of Romance : Énora , warm with beauty ,

To her lost love angel-borne , Greets him with heavenly passion

Heart-stirred , yet half lorlorn : And list ! — in the summer gloaming,

Through the dense leaves zephyr-fanned , Comes the song of happy Vivien

From green Brocéliande. She kneels by the moss-lipped fountain ,

Afar in the secret glade ,* And fern and rose and lily

Embower the stately maid. No Sound save the rill's low murmur ,

Or the nestward-fluttering wing , No sign that a subtler Présence

Lives in the enchanted ring ! But the oak of a thousand winters

Throws his broad bulk around , And the ghostly forest-shadows