Adlennet eo bet ar bajenn-mañ
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FRANÇAIS ET BRETON.
Faites-moi cette amitié-là. Que vous semble de notre cour ? C'est une des plus magnifiques du monde. Monsieur, vous êtes fort riche en Bretagne. Pourquoi, monsieur ? On le voit par les beaux édifices. Que vous en semble ? En vérité, monsieur, je suis surpris ; c’est la plus belle province de la terre. Je suis de votre opinion. Ce sont plutôt des palais que des maisons. Quand me reviendrez-vous voir ? Quand il vous plaira. Je serai bien aise de vous voir. Etes-vous pressé ? Oui, monsieur, si vos commande-ments ne me retiennent. Je ne veux pas vous détourner de vos affaires. Allez-vous-en à vos affaires. Bon soir. Monsieur, je vous prie de me com-mander. Ne logez-vous pas chez mon-sieur..... ? |
Grit d’in an dudi-se. Petra hevel deoc’h eus hon læz ? Bezâ ez ê unan eus ar caera so er bed. Autrou, pinvidic bras oc’h ebarz en Breiz. Perac, autrou ? He velet a rer dre an tiou caër. Petra hevel deoc’h ? En guirionez, autrou, souezet oun ; bezâ ez eo ar c’haëra provinç eus ar bed. Bezâ oun eus hoc’h menez. Bezâ ez int quentoc’h palæsiou eguet ties. P’eur e teuot-hu d’am guelet ? Pa blijo gueneoc’h. Evarus e vin d’ho quelet. Hastet oc’h-hu ? Ia, autrou, nemet ho gourc’hemennou am dalchô. Ne fell quet d’in ho tistrei eus ho kefridiou. It d’ho kefridiou. Nôz vad deoc’h. Autrou, me ho ped da gourc’hemenn d’in. Ne chaumit-hu quet en ti an au-trou..... ? |