Kadarnaet eo bet ar bajenn-mañ
— 10 —
Ar c’hemener
Chanté le 30 Mai 1904 à Trégunc (Finistère) par Joseph Guillerm.
Nota-bene. Le chanteur ne connaissait que le seul couplet qui suit. La chanson doit être connue à Quimper et les environs.
Ar c’hemener a ioa enn noaz, hag er meaz a ree glao braz, |
Al lez-vamm
Chanté à Trégunc (Finistère) en Juin 1904 par Vincent Bourhis.
Ha me am euz ’l lez-vamm, ar goasson[1] ’zo bet ganet, |
Nota-bene. C’est encore tout ce que nous possédons pour le moment de cette guerz. Le sujet semble être le même que celui des deux versions recueillies par Monsieur Luzel : Ar plach hi daou bried, ainsi que le « Frère de lait » du Barzaz-Breiz de M. de la Villemarqué.
- ↑ ar goasson pour ar goassa = la pire.