1. Teier groeg ha tri c’houadur |
Nota-bene. Si nous croyons devoir livrer au public les deux pièces précédentes, ce n’est pas que nous agissions précisement sous l’influence d’une admiration sans borne pour la mélodie. Ce qui nous pousse à agir ainsi, est ceci précisément que ces pièces ne nous semblent être que le débit solennel autrefois en usage dans certaines poésies déclamées. On remarquera en effet que ces chants sont bien près d’être de la simplicité du débit. Nous arrivons ainsi, à remplir notre programme, qui consiste à satisfaire au goût de l’amateur, aux recherches du folk-loriste et au plaisir que peut procurer au peuple des chants qui sont de son patrimoine.
La pièce suivante nous semble encore plus simple.
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- ↑ Espen pour ouspen = de plus.