Plac’hig Koad-Rouan
Oberennoù damheñvel pe handelvoù all zo ivez, gwelout Plac’hic Coat-Rouan.
Gwechall, pa oan en Koad-Rouan, |
TRADUCTION. Autrefois, quand j’étais a Bois-Rouen — Julik le Ververo ! — Moi je ne marchais pas [à pied] toute seule — Chilivertonti, Chilivertonton ! — Julik le Ververo, — Les yeux du hanneton de chene.
Entendu à Pontrieux.
N. B. — M. Francis Even, en Trégor, et M. l’abbé H. Guillerm, en Basse-Cornouaille, ont recueilli des versions à peu près identiques à celle qui précède. Une version du Léon, également notée par M. Guillerm, en diffère surtout par la mesure (6 8 au lieu de 2 4).
« Pell-zo amzer ’ven me dimêt, |
TRADUCTION. — « Il y a longtemps que je serais mariée, — N’était la peur d’un mauvais mari. » — « Si vous avez peur d’un mauvais mari (d’être mal mariée), — Ma douce Jeannette, prenez-moi ! »
Noté par M. l’abbé le Besco, Sainte-Tréphine.
Communiqué par M. F. Vallée.
Gwechall, pa oan en Koad-Rouan, |
TRADUCTION. — Autrefois, quand j’étais au Bois-Rouen — Vive la joie, vive la joie ! — Autrefois quand j’étais au Bois—Rouen, — Je ne marchais pas toute seule.
Chanté par Mme Vetel, Plounevez-du-Faou.
Phono F. Vallée.